D'abord la musique : dans tous les sens et sans limite.
Freeson s'autorise le plus obscur remix néo-breakcore exhumé d'une plate forme ukraino-ougandaise du dark web, mais ne rechigne pas à se salir les mains sur les terres polluées du mainstream. La musique avec des guitares, avec des ordinateurs, des ustensiles de cuisine, belle ou moche, d'hier ou de maintenant.
Ensuite : des considérations sur le monde, d'obédience islamo-gauchiste, traitées avec recul et précaution, à l'instar des débats d'idées qui ont cours dans les meilleurs débits de boissons.
Freeson peut recevoir des invité·e·s pour des sortes d'exercices thérapeutiques, mais peut aussi reposer exclusivement sur le bagout de ses animateurices qui s'attachent alors à problématiser un grand sujet de société, ou bien, plus généralement, pas.
Écouter Freeson, c'est avant tout une façon de se singulariser, d'être celui ou celle qui « a écouté », cette personne cool et bien dans ses névroses que tout le monde envie.
Prochaine Emission
Vendredi 1 novembre 19H00